L’Alpe 26 : les plumes

BERNARD AMY
Chercheur en sciences cognitives, il écrit et voyage depuis toujours. Alpiniste, il préside actuellement l’observatoire des pratiques de la montagne et de l’alpinisme. Collaborateur des principaux magazines spécialisés français et étrangers (dont la revue Altitudes), il a été l’un des fondateurs de Passage et a signé plusieurs ouvrages sur la montagne et le voyage dont, en 2004, La réponse des hauteurs (éditions Libris).

ENRICO CAMANNI
Directeur de la rédaction de l’édition italienne de L’Alpe et historien de l’alpinisme, il est également écrivain. Il a en particulier publié une anthologie d’articles de Dino Buzzati et, tout récemment, un roman dont l’action se déroule au Cervin (La notte del Cervino, Cda & Vivalda, Turin).

JEAN COURRIER
Agrégé de lettres modernes, docteur d’état, ce spécialiste de George Sand a dirigé la revue Présence de George Sand et les éditions de l’Aurore. Il a publié Le marquis de Villemer, Le péché de M. Antoine (Aurore), La petite Fadette (De Borée), La ville noire et Mademoiselle La Quintinie (Presses universitaires de Grenoble).

HERVÉ GAYMARD
Ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, conseiller général du canton de Moûtiers (Savoie), Hervé Gaymard est également président de la Fondation pour l’action culturelle internationale en montagne (FACIM) et grand amateur de littérature. Il est l’auteur de Pour Malraux (La Table ronde, 1996) et vient de publier La Route des Chapieux aux éditions Fayard.

PAOLA GIACOMONI
Elle enseigne l’histoire de la philosophie à l’université de Trento et s’intéresse particulièrement à l’histoire des idées et des rapports qu’entretiennent la philosophie, les sciences et la littérature.

NELLA GIANNETTO
Professeur de littérature italienne à l’universitéde Milan et de Feltre, elle a créé en 1988 l’association internationale Dino Buzzati, qu’elle préside, ainsi que le centre d’études Buzzati (1991) dont le siège se trouve à l’université de Feltre.

MARTINE GUILLERM
Critique d’art, elle se passionne pour l’œuvre et la personnalité de Marcel Proust. Elle tente d’élucider par l’écriture le mystère de cette fascination et d’interroger la relation d’intimité qui s’établit, par-delà le temps, entre un auteur et son lecteur.

JEAN-PIERRE LOUBAT
Photographe, il capte les traces éphémères du temps qui passe. Ce reportage sur les lieux inspirateurs de À la recherche du temps perdu est une manière de résister à l’oubli en en restituant l’atmosphère nostalgique dans une vision très personnelle des paysages proustiens.

MARIE-CLAUDE MORAND
Historienne de l’art, conservatrice du musée cantonal d’Histoire de Sion (Suisse), elle est également directrice des musées cantonaux du Valais et membre du conseil scientifique de L’Alpe.

VALENTINE NICOLLIER
Licenciée ès lettres, collaboratrice scientifique au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’université de Lausanne, elle travaille actuellement sur l’édition des œuvres complètes de Charles-Ferdinand Ramuz, à paraître chez Slatkine (Genève).

JEAN SGARD
Il a été professeur de littérature française à l’université Stendhal de Grenoble de 1969 à 1994 et président de la Société française d’étude du XVIIIe siècle. Il poursuit ses recherches sur l’histoire du roman (Prévost, Crébillon) et de la presse au XVIIIe siècle.

RENÉ SIESTRUNCK
Sociologue et écrivain, il a signé plusieurs ouvrages et vient d’achever une trilogie sur l’histoire des vallées briançonnaises : Saute-frontières (1998), Profils briançonnais (2000) et Tournées par le vent (2004, tous trois publiés aux éditions Transhumances).

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